Cupidon est furieux.
Cupidon se sent trahi.
Cupidon veut se venger.
Non seulement l’Archange Gabrielle lui a encore refusé le droit à l’amour, mais cette emplumée se permet en plus de forniquer avec Uriel.
Son meilleur ami et confident.
Son compagnon de solitude.
Les deux traîtres croient pouvoir le berner, mais ils ignorent ce que le chérubin aux fesses rebondies a dans le ventre… En plus, elles sont magnifiques, ses fesses! Pas comme les miches plates de l’autre Archange frigide !
Oui, Cupidon va se venger.
Coûte que coûte.
Cette année, la Saint-Valentin promet d’être angéliquement démoniaque!
Je remercie Simplement.pro et Line Carazachiel pour m’avoir permis d’accéder à ce service presse. J’étais ravi de retrouver sa plume (sans mauvais jeux de mots vis-à-vis du récit… xD) !
J’avais déjà adoré un ouvrage de l’auteurice (qui était en fait un livre écrit à quatre mains, d’ailleurs.), et j’avais envie de retenter l’expérience. Si celui-ci est un peu moins léger sur son histoire, ça reste quand même quelque chose de très fluide à lire, et de rempli d’humour. Ça m’a beaucoup fait sourire et rire. En plus du bonus que c’est de la littérature LGBTQ+ et que je trouve, qu’on n’en a vraiment pas assez dans ce monde.
On découvre Cupidon, qui en a marre des conditions de son travail, et qui décide donc de… Partir en vrille, littéralement.
Et autant dire, que sa chute va être lente, mais probablement, très bien pour lui, pour lui permettre de se découvrir pour de bon. J’ai bien aimé Cupidon, qui m’a fait sourire, dans son évolution. Et sa relation avec Mormo avait quelque chose d’étrangement explosif. J’ai apprécié comment les twists étaient largués par petites touches, mais aussi j’ai apprécié les rebondissements de la Saint Valentin, l’avancement de l’histoire. La structure est plaisante, et on suit avec intérêt l’avancement, qui coule comme une jolie chute d’eau.
Et surtout, j’ai bien aimé comment était placé l’univers. Qui était Cupidon, la description des anges, des démons, et bien sûr, la sempiternelle question d’ “est ce que les anges sont si heureux que ça, et si “bons””. Et le fait qu’au fond, ils soient un peu “humains”, ou du moins, réalistes, fait sourire. L’utilisation de l’univers de base était donc un gros plus pour moi.
Bref, ça se lit bien, et même, ça se dévore. Je trouve ça toujours rafraîchissant. Je veux dire, j’ai l’impression de lire quelque chose d’aussi fluide à lire qu’une fanfiction, sauf que c’est aussi bien écrit qu’un livre (bien que je ne dise pas que les fanfictions ne peuvent pas être aussi bien écrites que les romans, attention). Il y a un aspect visuel, amusant, et appréciable, et saupoudré d’un univers “reconnaissable” mais remanié de façon intéressante.
Avec moi, ça fonctionne, et c’est un grand oui. Bien que cette fois, ça ne soit pas un coup de cœur. (Mais j’estime que les coups de cœur sont souvent subjectifs et ne tiennent à rien pour le devenir.).