Dans les temps anciens en Russie, à l’arrivée de l’hiver, toute la famille, enfants, parents et vieillards se réunissaient le soir autour d’un feu de bois pour se réchauffer. Alors le patriarche commençait à raconter des légendes ancestrales et tous étaient émerveillés par ces belles et énigmatiques histoires et allaient ensuite se coucher la tête dans les étoiles!
Laissez-vous émerveiller par ces 10 histoires inventées et inspirées des contes et légendes ancestrales russes!
Vous pourrez lire les histoires suivantes : La légende de la princesse dorée, Le pêcheur partit pêcher en enfer, La princesse qui résout les énigmes, Le héros Lazar Lazarevich, Les chaudrons géants de la Vallée de la Mort, Être roi n’est pas un métier, Masha et l’ours, La folle histoire de Bragi le mammouth, La déesse Lena et l’île mystérieuse, Le prince Dimitri et son chat Koshka.
Bienvenue dans mon univers magique et féérique!
Je remercie Simplement.pro et Catherine Jean pour m’avoir permis d’accéder à ce service presse.
Prise de curiosité, j’ai été tenté de lire ces contes, qui sont d’origines russes. Après tout, j’avais envie de connaître un peu plus cette culture, dont j’ai appris quelque peu la langue. Ça me semblait intéressant, et j’ai donc lu ce livre.
Je dois dire qu’on retrouve bien les structures des contes. Même s’il y a quelque chose de tout particulier, propre à la culture russe, c’était plutôt intéressant. Justement, on voit que certains de nos contes sont presque dérivés par les Russes, comme Macha et l’ours qui m’a fait penser au petit Chaperon Rouge. D’autres, ont des moments très connus des contes, comme le personnage magique qui va aider le héros dans son aventure. Mais il y avait tout de même quelques différences, et qui permettait d’en apprendre plus, quelque part, sur les Russes.
Ce que je reprocherais, c’est que certaines formulations paraissaient maladroites, parfois légèrement immatures. On se retrouvait ainsi avec une écriture inégale, qui contait à la fois correctement, et de temps en temps un peu moins. Certaines fois, j’étais aussi confuse sur le déroulé, du temps et des personnages. Je pense que ce livre mériterait encore un peu un travail de correction, pour qu’il sonne véritablement comme un livre de contes classique. Du fait qu’il est autoédité, il n’y a ainsi pas la maison d’édition derrière pour apporter une correction pro, donc, c’est compréhensible.
Au moins, du reste, c’était diversifié, et même si je n’ai pas tout aimé (parce que notre attrait des contes dépend pour moi de notre histoire personnelle et de ce qu’on aime dans les histoires), il y en a qui me sont restés en tête.
Je reste juste sur ma fin. On ne s’attend pas à ce qu’un recueil se finisse abruptement sur « lisez la partie 2 ! » et ça m’a un peu déçu.
De plus, petite dernière remarque : il y a une image du petit prince en toute fin qui ne fait pas sens. On est chez les Russes, qu’est-ce qu’il fait là ?
Dans l’ensemble de ce fait, je pense que ce livre peut être lu à des enfants, mais déjà un peu grand, ou être découvert par des adultes, curieux de connaître plus les contes différents de ceux qu’on connaît déjà.
Petit plus d’ailleurs : on a souvent tendance à entendre parler de Baba Yaga et de rien d’autre, mais ici, elle n’y était pas.