Terreur à Smoke Hollow de Katherine Arden

Depuis le décès de sa mère, Ollie, onze ans, trouve refuge dans la littérature. Jusqu’au jour où elle croise, près d’une rivière, une femme déterminée à se débarrasser d’un livre qu’elle prétend maudit. Le sang d’Ollie ne fait qu’un tour : pas question de la laisser commettre une telle barbarie ! Elle vole l’ouvrage et le dévore en une nuit. Il raconte l’histoire d’Elizabeth Morrison et de ses deux fils, Caleb et Jonathan, disparus après avoir passé un pacte avec un sinistre spectre souriant. Le lendemain, la jeune fille a la désagréable surprise de découvrir que la ferme que visite sa classe est celle où est enterrée Elizabeth…

Mon avis

Enfin. J’ai enfin trouvé un livre qui m’a terrifié. Et même si, j’ai brisé l’ambiance en laissant le week-end passer pour m’en remettre, je peux l’affirmer. J’ai trouvé un livre qui m’a fait peur. Terreur à Smoke Hollow, a cette écriture très douce, qui vous mets petit à petit dans l’ambiance de Recoins, de cette histoire d’épouvantails et d’homme qui sourit. Et j’étais terrifié à l’idée de rencontrer l’homme qui sourit. Ce livre m’a rappelé mes meilleurs romans d’horreurs de quand j’étais petit. Où on ne sais pas ce qui va advenir des personnages. Où tout peut arriver, et où l’autrice utilise nos plus grandes peurs pour nous toucher.

Si en soi, l’idée est assez simple, à base de “pacte” et de fantômes, ça en reste que j’ai trouvé que c’était fichtrement bien écrit, et bien ficelé. Je n’ai pas tout deviné, j’ai aimé à découvrir, et j’étais à fond, du début jusqu’à la fin. Et si je me suis arrêté, c’est juste parce que je flippais. Ce livre m’a fait peur. Il a quelque chose de malaisant avec ces épouvantails capable de tout. Après, j’ai trouvé que l’ambiance se calmait, quand tu comprenais qu’il n’y avait en fait rien à craindre.

Il y a pas mal de clichés liés aux livres du genre, mais en vrai… C’était une bonne lecture. J’ai bien aimé Ollie, Coco et Brian. La façon dont ils se découvrent, apprennent, surtout pour Ollie, que les préjugés ça tient pas à grand chose. On en apprend plus sur chacun au fur et à mesure, et j’ai bien aimé leur amitié, qui sortais tout doucement des clichés.

Ce livre m’a un peu rappelé “L’étrange pouvoir de Norman”, au niveau de son ambiance, de son humour, et de son côté un poil flippant.

En vrai, je recommande aux gens, parce que c’est super cool. Si vous aimez les livres d’horreur et de la jeunesse, lisez ça !

Les Naissances du mondes : Mythologies : Grecque, japonaise, celte, dogon et tibétaine de Claude Helft, Michèle Mira Pons, Florence Noiville et Anne Tardy

En racontant la naissance du monde, les mythes donnent aux hommes des clés pour comprendre et interpréter l’univers qui les entoure. Découvrez ou redécouvrez les mythes fondateurs des dieux colériques de l’Olympe en Grèce, des foisonnants kami qui peuplent l’archipel du Japon, des créatures mythiques décrites par les druides celtes, des singuliers masques et danses des Dogon et des mystérieuses légendes qui se racontent au Tibet, sur le toit du monde.

Pré-note

Cette chronique ouvre la première chronique de livres que j’appelle “rigolos”, mais qu’on va appeler ici “Esotérisme / Mythologie”. J’en ai toute une collection, et je veux essayer de les lire, lentement, mais sûrement.

Mon avis

Je suis toujours très intéressé par les mythologies. Et quand j’ai vu ce livre, j’ai été tout de suite intrigué par son contenu. Bien que je connaisse pas mal la mythologie grecque, et que j’étais moins intéressée par celles dogon et tibétaine… J’ai tout de même bien apprécié ma lecture ! 

Si je trouve que ce livre manque d’illustrations, pour se représenter chacune des mythologies, je trouve que l’écriture nous permet à chaque fois de retrouver une ambiance proche à chacune. Et surtout, j’ai bien senti que l’écriture avait été tournée pour les enfants. Mais ce n’était pas un mal : ça aidait vraiment à la compréhension. 

J’ai beaucoup aimé découvrir quelques morceaux de mythologies, et en apprendre plus sur chacune. Je trouve que chaque “naissance du monde”, dévoile un pan de culture, et de ce que je connaissais de chacune, j’avais l’impression de me retrouver dans le bon univers. Tout était bien expliqué, de façon simple, mais qui allait droit au but. On apprends ainsi pleins de figures mythologiques, et j’étais ravie de cette introduction. 
Si je me perdais parfois notamment chez les japonais et tibétains avec leurs noms et mots à rallonges, je trouve que la lecture de ce livre était très divertissante. Mais aussi, plutôt complète.
Je pense que si vous appréciez les mythologies, ou que vous savez que votre enfant aime ça, ça peut être une bonne chose de lui faire découvrir ça.

Les Carmidor tome 1 : Trahir et survivre d’Olivia Gometz

Prête à tout pour protéger son île, la puissante famille Carmidor s’allie aux nobles continentaux et renverse le souverain.

La dynastie royale est massacrée. Tandis que les Virdemis s’emparent de la couronne, le clan insulaire étend son influence dans la capitale en usant de son or et de ses charmes.

Mais au nord, la dernière Arvagna jure d’anéantir les assassins de ses parents, dût-elle rejoindre les redoutables Népéis dont les prophéties annoncent l’engloutissement des terres émergées.

Les Carmidor le savent : les vagues les plus dévastatrices ne seront pas faites d’écume et de sel.

Elles seront de terreur et de sang.

Pré-note pour le prix des auteurs inconnus

Mon avis

Il y a une raison qui m’a amené à ne jamais lire Games of Thrones. La saga gigantesque ça représentait, et les personnages qui mourraient juste parce que. Mais aussi, la fantasy politique.
Ça ne m’a jamais intéressé, et je l’avais donc retiré de ma PAL.

Mais, sous le contexte du prix des auteurs inconnus, je me devais de lire Trahir et survivre tome 1. Cette saga, qui, comme l’a bien décrit la chronique de Tom Larret, ressemble pas mal (voire trop, mais là je peux pas tant en juger sinon pour le début), à GoT.

Mais avant qu’on ne croit que je suis en train de dire que j’ai détesté ce tome 1, que c’était trop nul, etc., je dois rétablir les choses : ce n’est pas mauvais. C’est juste, que sincèrement, je n’aime pas la politique, alors la fantasy politique, c’est loin, trèèèès loin, d’être mon truc.

J’estime ainsi, qu’il y a une grande part de subjectivité dans mon ressenti du livre. Aussi, je pose les choses ici : vous n’aimez pas les fantasy politiques ? Ne lisez pas ce livre. Si au contraire, vous adorez ça, je pense que vous pouvez foncer.

De plus, je ne reviendrais pas sur le fait que ça ressemble beaucoup à GoT (pour le peu que j’en connais, il y avait au moins les familles, mais aussi le début avec le roi qui meurt et une Sansa Stark et une Daenerys Targaryen).

Pour le reste, il y a tout de même, des soucis objectivement, tout comme des choses positives.

L’univers est confus. Bien travaillé, bien établi, on sent que l’autrice a passé du temps à mettre en forme chaque famille. Mais confus. Au début, je n’avais aucune idée de qui était qui, de quoi, quand, comment. Je pense qu’il manquait un tant soit peu d’introduction des personnages, ou bien j’ai raté quelque chose.

Du reste, il y a beaucoup de personnages. Si au bout d’un moment, on en vient à s’y retrouver, ça ne m’a pas empêché de les trouver souvent similaires.

Je ne me suis attaché à aucun. Giorda m’agaçait, j’avais envie de taper Dista qui était encore plus insupportable. Aron était bien puis finalement non. Dorio passe encore à la rigueur. Et la bâtarde dont j’ai oublié le nom n’est pas trop mal. Au fond, je n’ai aucun personnage préféré, et lorsqu’il y avait des morts, j’étais plus blasé qu’autre chose.

Les morts. Des morts, pas si gratuites pour certaines, mais que je trouvais facilement violentes. Je n’ai rien contre la violence, quand, elle est bien écrite. Ici, j’ai trouvé que c’était…Bizarrement forcé. 

Du reste, si je trouvais le livre long, puisque je ne m’attachais à personne, et que je ne trouvais aucun intérêt à l’histoire et où elle m’emmenait (là, ça devait être le côté politique.), je me retrouvais parfois à me rendre compte qu’en vrai, je suivais l’histoire, et m’y laissais plonger. Même quelques instants. Les rebondissements et jeux de cours avaient parfois quelque chose d’intrigant, et de plaisant où je me laissais entraîner. Certains dialogues ressortaient plus que d’autre. J’appréciais de voir des femmes fortes, qui ne se laissaient pas marcher sur les pieds, malgré l’univers dans lequel elles se trouvaient. Même l’écriture narrative, savait parfois se présenter comme brillante.

Je ne saurais pas dire si c’est parce que ce n’était qu’à quelques occasions, ou juste que ma raison primaire qui me poussait à ne pas apprécier dès le départ, n’a pas aidé. Aussi, je me dois de préciser qu’il y a quelques fautes, parfois des mots qui manquent, d’autres fois des mots écrits bizarrement (je n’ai pas relevé lesquels.).

En somme, je pense sincèrement dire que ce livre n’était pas pour moi. Que je comprends pourquoi d’autres ont accroché. Et que, tout de même, je me dois de le remercier : il m’a permis de réellement comprendre que la fantasy politique n’était pas pour moi. (je n’en avais jamais vraiment lu avant parce que je me doutais que ça ne m’irais pas, ça m’a permis de confirmer.).

La Dernière Geste tome 2 : L’héritage du rail de Morgan of Glencoe

Alors que la nouvelle se répand en Keltia, Yuri, ramenée de force à l’ambassade du Japon, est déterminée à reprendre sa liberté malgré tout.
Mais comment fuir, et où trouver refuge ? Seul le Rail semble désormais capable de lui donner asile…

Après les débuts en fanfare de la série La Dernière Geste de Morgan Of Glencoe, romancière et harpiste professionnelle, voici enfin le deuxième tome très attendu des lecteurs et lectrices.

Pré-note

J’ai du mal à faire cette chronique, parce qu’étant bêtalecteur de cette saga, j’ai trop l’habitude de commenter déjà en direct mon ressenti. Plus, j’ai tellement l’habitude de tout analyser plus ou moins, que je pourrais en écrire une thèse.

La chronique de ma soeur se trouve ici : clique

Mon avis

Cet ouvrage a été lu en lecture commune avec ma grande soeur. Il faut dire que, la Dernière Geste, on le lit en famille (mon père les lit aussi).

Il a aussi la particularité de m’être dédié (je suis Harukaze-chan), et je connais cette dédicace par coeur. Ce n’est que la deuxième fois que je lis ce tome 2 au complet (par rapport au tome 1 que j’ai lu au moins 6 fois). Et j’avais oublié que de fait… Il est le tome du deuil et du changement. Un tome donc, plein d’introspection et d’envie de grandir.

Avec aussi un sacré paquet de rebondissements, on va pas se le cacher. Bien qu’il ne soit pas mon tome préféré, je l’adore quand même autant que les deux autres. On retrouve les personnages qu’on a laissé dans le tome 1, après que les Egoûts soient tombés. Autant dire que ce début n’a rien de joyeux.

Puis, quelques personnages se retrouvent tous sur le Rail, et semblent tous se soutenir mutuellement, tout en apportant de l’animation dans le train. Et à côté de ça…Il y a Louis-Philippe et la vie à la cour de France.

C’est fou comment ces tomes m’entrainent à chaque fois de façon exponentielle. Je suis toujours à fond, je commente comme si je regardais une série, je grogne, je ris, je pleure, je me mets en colère. J’aime beaucoup le passage qui se passe après le Solstice, pour ce que ça amène en terme d’évolution personnage. J’aime Pyro, son optimisme, son adolescence et sa franchise. J’aime Bran, et sa façon de se construire après la perte de son père. J’aime Yuri, et son envie de savoir où aller, qui elle est. Et j’aime tous les autres. Kenzo et ce qu’on découvre sur lui, l’évolution de Ryûzaki et Levana vis-à-vis de leurs sentiments envers les gens de Keltia, le fait que, quand quelqu’un se retrouve au contact des gens ouverts d’esprits, bizarrement il évolue d’un coup. Et même si je déteste Louis-Philippe (mais que j’adore son petit frère et sa maman), j’aime le fait que c’est un imbécile, et qu’il ne veut pas, et refuse obstinément, de sortir de son petit monde à la noix et d’évoluer un tant soi peu. Ce personnage est incroyablement idiot, et pourtant redoutablement intelligent. Mais surtout, très très frustrant. Et pourtant, malgré ma haine envers lui, je n’arrête pas de continuer mes analyses sur lui. C’est un personnage complexe, et qui, d’un autre point de vue, aurait pu être le protagoniste d’une histoire.

Mais plus encore que le devenir des personnages, j’aime les messages de ce livre. J’aime la bienveillance qu’il en ressort, que ça soit par les paroles véhiculées par Ren, ou par les autres. J’aime le fait que ce livre me fout des gifles à chaque fois que je le lis, pour m’apprendre la vie, et un peu, juste un peu, me dire que ça va aller.

Aussi, à ma deuxième lecture, j’ai découvert des choses, compris d’autres choses, et ça, ça m’arrive aussi assez souvent. (Ca et les références à tout pleins de trucs).

Je pourrais passer encore des heures à en parler. Du fait que chaque point de vue offre une suite à l’histoire, que chaque relation de personnage est différente et intéressante. Que certains des personnages sont hypant à mort. Qu’on peut passer de la haine envers un personnage, à le suradorer l’instant d’après. Que les cultures sont respectées. Qu’il y a tellement de représentations que je me sens tout ronronnant de bonheur. Que l’humour est trop bien. Que quand je le lis, et que je dois en parler, j’ai envie de sautiller de partout et de prendre trois heures pour parler de tout.

Mais voilà le souci : c’est que du coup, je ne sais pas par où commencer, et que je m’emmêle les pinceaux. Du coup, je m’arrête ici. Je ne sais pas si cette chronique est convaincante ni même compréhensible, mais elle a été écrite avec le coeur, et c’est déjà, mieux que rien.

Forthill tome 3 de Vanessa Altmeyer

Lisa a du mal à se remettre de ce qui s’est passé au Festival de Kingussie, et elle compte bien profiter de l’absence de sa mère qui doit participer à un Coven sur l’île de Man pour explorer ses sombres dispositions magiques avec l’aide de sa grand-tante Sheilah, une prêtresse vaudou qui vit en Louisiane.
L’idéal pour se sortir le beau Ian Pendrake de la tête ! Enfin, presque… Une belle jeune femme tourne autour de son ex, et Lisa est prête à parier qu’elle appartient à une espèce très dangereuse de surnaturels écossais. Pour couronner le tout, une série d’incendies ravagent les Highlands et les soupçons se portent sur Ian. Et si c’était vraiment lui le coupable ? Après tout, Lisa ne le reconnaît plus…
L’heure de tous les dangers a sonné : pour sauver l’homme qu’elle aime, Lisa va devoir explorer son côté obscur. Elle devrait le savoir, les dragons de Muyr n’ont pas encore révélé tous leurs secrets.

Mon avis

Si le tome 2 m’avait laissé plutôt mitigée, entre le comportement de Keith ou de Ian, ou bien simplement le fait que l’intrigue commençait trop tard à mon goût, ce tome 3, m’a rassuré sur ma lancée de la série.
Je dois être honnête : si Forthill m’avait proposé la même chose que son tome 2 pour le 3… J’aurais vite décroché.

Mais. Vanessa Altmeyer a quelque chose de plaisant, au-delà de son écriture : elle utilise les clichés du genre bit lit, comme offrir des hommes possessifs et bêtes sexuels où le consentement est mort, et une héroïne badass mais en fait non ou d’autres trucs… Et les détourne !

Du moins, leur offre un renouveau bien plus agréable. L’héroïne n’est pas spécialement badass, mais en apprentissage, et sais reconnaître ses faiblesses, et se tenir à ses valeurs. Plus, elle ne se laisse quand même pas marcher sur les pieds. Et le dragon est certes un poil possessif, mais offre aussi quelque chose de drôle, de touchant, et il essaie de comprendre. En plus… Le consentement est roi. Ces clichés détournés, me font du bien. Parce que j’ai moins l’impression que l’héroïne est un bout de chair, ou une ridicule fillette qui fait semblant de savoir faire joujou avec des armes. Non, l’héroïne ne se laisse pas faire mais a conscience de ne pas tout maitriser (et de ne pas apprécier son pouvoir d’ailleurs), et elle réussit quand même, d’elle-même, des choses. 

Oh, et juste le fait que ça traite de toute la mythologie celte et anglo-saxonne, moi ça me va. Genre, ça change des vampires, loups garous, et c’est amusant de deviner qui est quoi quand comment pourquoi.
Ici, on avait une histoire avec un être qui m’a surprise. [spoiler : dont le seul reproche que j’aurais à faire, c’est qu’encore une fois, le roi des morts est le “méchant”, mais ça, c’est mon côté qui sait que ce n’est pas forcément vrai (peu importe la mythologie). Plus, dans les légendes Arawn a aussi un côté bénéfique, par exemple en étant ami avec Pwyll, et j’aurais sûrement préféré, alors qu’il soit plus neutre. Mais comme on ne voit qu’une partie de lui, je ne vais pas faire “oulala il est hors personnage” parce qu’en vrai, je ne le connais pas parfaitement, et que j’ai adooooré le traitement des fées qui était exact aux légendes. Aussi, le fait que Arawn soit “sans genre”, m’a fait grave plaisir (je veux être une fée maintenant, et voir Lugh).]

Et il n’y a pas que lui, il y en a d’autres. Comme une banshee (qui bien que popularisée avec Teen Wolf, reste rare dans la fiction), et des références à d’autres choses qui m’ont vraiment entrainé dans le livre.

En fait, c’est simple : j’ai dévoré ce livre. Je tournais les pages à vitesse grand V, et bien que parfois, je craignais le comportement de Keith et Ian, ils ont été sages. (Et Callum a été trop bien comme à son habitude.).

Plus que ça, l’écriture est toujours très fluide, légère, et Lisa me fait beaucoup sourire. Elle évolue aussi, découvre toujours plus de choses sur elle. Même si j’estime que le twist principal sur son origine m’a paru un peu comme un cheveu dans la soupe. Surtout que ça ne m’a pas surpris, vu comment c’était amené.

Après, j’avoue qu’il y a des choses dont Lisa ne se doute pas, il y a pas mal de choses que j’ai compris, et auquel j’ai déjà les réponses. Heureusement, tout n’est pas forcément résolu et j’avoue être curieux d’en voir plus.

J’ai hâte d’en voir plus, et j’ai adoré l’enquête de ce tome-ci (bon, j’avoue, je triche, quand l’autrice me l’avait présenté sur “les maisons hantées”, je savais que ça me plairait plus que le Loch Ness….).

Je lirais donc le tome 4, tout prochainement !