Dans un orphelinat de l’Angleterre victorienne, Oliver Twist survit au milieu de ses compagnons d’infortune. Mal nourri, exploité, il est placé dans une entreprise de pompes funèbres où, là encore, il ne connaît que privations et mauvais traitements. Oliver endure tout, jusqu’au jour où une provocation de trop le pousse à s’enfuir vers Londres.
Epuisé, affamé, il est recueilli par une bande de jeunes voleurs qui travaillent pour le vieux Fagin. Entre Dodger, Bill, Nancy et les autres, Oliver découvre un monde cruel où seules comptent la ruse et la force.
Arrêté pour une tentative de vol qu’il n’a pas commis sur la personne de Mr. Brownlow, Oliver ne trahit pas sa bande et s’attire la bienveillance du brave homme. Mais Fagin et Bill ne tardent pas à remettre la main sur lui et l’obligent à participer au cambriolage de la demeure de son bienfaiteur…
Famille : Dans un carambar
Personnage : Sheldon Lee Cooper
Rang : Cousin 2
Défi : Le prénom de l’auteur comporte un C, un L et un S
Je dois d’abord dire que j’ai lu une courte version de ce livre (environ 100 pages), un apparent vieux livre pour enfant, avec des vieilles illustrations. Et qui…S’appelait “Olivier Twist”. Ca m’a assez perturbé, mais j’ai fais avec.
On nous cause d’Oliver Twist (je vais l’appeler comme ça maintenant), qui se retrouve à vivre une vie de misère, pour découvrir un jour qu’en fait, il mérite un peu plus de bonheur que ça. En effet, il va croiser la route de quelques personnes bienveillantes.
J’avoue que lire une version courte, fais que j’ai vraiment eut l’impression de passer à côté de tout un tas de choses, et que c’était assez perturbant. Au delà de ça, j’ai trouvé Oliver assez touchant. Et quelques personnages sympathiques, bien que le livre ne rentrait pas en profondeur dessus. J’avoue avoir aussi un peu comparé avec le disney (qui n’a en fait quasiment rien à voir avec le livre).
J’avoue que l’écriture fait bien son époque, et qu’à quelques moments ça m’a fait décroché. Mais en même temps, je voulais voir ce que donnais un livre de Charles Dickens et je me suis pris à apprécier sa façon de jauger la société, me rappelant au passage Victor Hugo. J’ai surtout lu pour ça, le côté de la critique de la société de cette époque là. Sinon, je n’ai pas trop accroché à l’histoire, et je suis quand même content d’en avoir eut une version rapide.
Ca restait appréciable et rapide à lire. Je ne pense pas lire un jour la version longue, mais si je suis tenté par un aute Charles Dickens, peut-être que j’essaierais.