Apprentie auprès du plus grand alchimiste de son temps, Elexia ne vit que pour une chose : l’instant où son maître lui ouvrira les portes de son laboratoire secret.
Lorsque ce moment arrive enfin et qu’elle découvre, fascinée, les inquiétantes expérimentations de son mentor, ses convictions commencent à vaciller sous le regard jaune du sujet n°6.
Le format était assez court, vu que c’est une nouvelle, mais j’étais curieux de lire autre chose de la personne qui a écrit “Nous dansions sur l’air du numérique”. C’est une histoire assez sombre, sur des alchimistes qui dépassent l’éthique pour en faire des chimères. Mais, c’est aussi une sorte d’histoire d’amour, assez touchante bien qu’à sens unique.
Ça interroge sur la condition humaine, sur les limites des expériences, sur ce qu’est-ce que l’on serait prêt à faire pour la connaissance.
C’était assez plaisant à lire, assez doux, amer aussi. On s’attend à la fin, mais ça reste bien. C’est un petit moment à lire. Et surtout, bien sûr, il y a de la représentation. J’avoue aussi, que j’aurais aimé que le récit soit plus long, que l’on nous plonge plus dans l’univers, que ça devienne un vrai roman. Et, avec du recul, j’avais ressenti ça aussi à l’autre nouvelle que j’avais lu. Je crois que la personne qui a écrit cette nouvelle et l’autre, a vraiment des univers passionnants, et une plume sympa, que j’adorerais retrouver dans un format plus long.